Je ne me rappelle jamais sans émotion les
paroles que prononçait un évêque au soir des adieux de son pèlerinage :
« Cette Grotte vous est maintenant trop chère pour que vous puissiez la
quitter jamais. Comme les rameaux qui se pressent aux pieds de la Vierge, vos
cœurs y demeurent enlacés » (R. Gaëll, 1946).
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