Ils s’en croyaient à jamais séparés parce que
leurs regards brouillés de regret n’en découvraient plus la clarté rassurante.
Et un jour ils ont senti sourdre dans leurs fibres profondes la sève de vie
miraculeuse que la Mère aux inépuisables tendresses a fait jaillir du sol aride
de leur détresse (R. Gaëll, 1946).
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