Le lendemain, le malade
reçut son Sauveur dans la sainte communion. Des larmes de paix et de bonheur
coulaient le long de ses joues décolorées. Il serrait entre ses mains le chapelet
si providentiellement retrouvé. « Il me semble », dit-il au prêtre,
« que ce sont les mains de la Sainte Vierge que je presse entre les
miennes. Je sens qu’elle m’attire vers ce beau ciel, que j’ai failli perdre
pour toujours ! Je n’ose regarder en arrière où tout me paraît si
sombre ! Mais, avec le secours de Marie, ma miséricordieuse Mère céleste,
je ne crains rien, car elle ne me laissera pas sombrer. » (G. du Bouyssou,
1910)
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