lundi 12 octobre 2015

Chapelet perdu et retrouvé (1)


Une belle matinée du mois d’août. Le ciel est sans nuage, une brise légère se joue à travers les arbres et, doucement, incline leurs branches. Les oiseaux gazouillent et semblent pleinement jouir de la saison d’été. Quelle invitation à quitter la ville pour une promenade, là-bas, au fond du bois, où il y a moelleux tapis de mousse, et claire ruisseau, où tout chante l’agrément et la fraîcheur. (G. du Bouyssou, 1910)

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