Une belle matinée du mois
d’août. Le ciel est sans nuage, une brise légère se joue à travers les arbres
et, doucement, incline leurs branches. Les oiseaux gazouillent et semblent
pleinement jouir de la saison d’été. Quelle invitation à quitter la ville pour
une promenade, là-bas, au fond du bois, où il y a moelleux tapis de mousse, et
claire ruisseau, où tout chante l’agrément et la fraîcheur. (G. du Bouyssou,
1910)
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