« Je ne vous promets
pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l’autre ». L’humble
religieuse ne fut pas épargnée par la souffrance : elle avait été avertie.
Elle accepta tout sans murmurer ; et quelques mots, qui lui échappèrent
parfois, nous donnent l’assurance qu’elle offrait sa vie en holocauste pour la
conversion des pécheurs ; elle souffrit sur la terre ; elle triomphe
aujourd’hui dans le Ciel où elle a retrouvé la Sainte Vierge « si bonne,
si belle, qu’après l’avoir vue une fois, on voudrait mourir pour ne plus la
quitter ». (Texte de Mgr Pierre-Marie Théas, 1947)
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