Bernadette. Et Bernadette,
que devient-elle ? Jusqu’au 2 juillet 1866, elle reçut asile à l’Hospice
tenu par les sœurs de Nevers, suivit régulièrement les cours à l’école des
Sœurs, puis alla se cacher au Couvent de Saint-Gildard à Nevers. La gloire pour
Marie et son Fils ; l’humble obscurité du cloître pour elle. Ce ne fut pas
sans une indicible émotion et sans verser des flots de larmes qu’elle fit ses
adieux à la Grotte bénie, qui avait été pour elle une vision du Paradis. (Texte
de Mgr Pierre-Marie Théas, 1947)
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