Les pèlerins, de leur côté,
furent émerveillés de se sentir si bien chez soi à une telle distance de leurs
foyers ; à cette satisfaction s’ajoutait le ravissement des beautés du
pays des Pyrénées, de ce Midi tant vanté et qu’on avait jamais espéré visiter,
son ciel si pur, son soleil si brillant, son paysage si frais, ses eaux si
rapides et claires, ses collines et surtout la majesté grandiose des montagnes.
(DM, 1932)
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