La maison du riche et du
pauvre sans une seule exception, les édifices publics, la grande chaussée, les
allées et les places, tout ruisselle de lumière. Ces feux brillent comme les diamants
au milieu de la verdure, des fleurs, des oriflammes. Les fenêtres des maisons
sont des trônes où sourit l’image de la Vierge Immaculée, la ville tout entière
est devenue l’autel de Marie : toutes ces richesses si élégantes, toutes
ces magnificences d’un goût exquis étaient le travail de toutes les mains, de
tous les chœurs. (DM,
1932)
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