Cet incident préparait mal
les esprits à subir l’acte arbitraire que fût l’arrêté du 8 juin interdisant
l’accès de la Grotte. « Eh ! qu’importe au préfet que nous croyions
ou que ne croyions pas aux faits de la Grotte ? De quel droit veut-il nous
empêcher de boire à telle source plutôt qu’à telle autre ? Sommes-nous des
hommes libres ? Va-t-il nous prendre pour ses esclaves ? » (DM, 1932)
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