« Tandis que
l’administration civile dépensait une activité inquiète à étouffer une force
inconnue qu’elle sentait triompher mystérieusement sous ses étreintes,
l’autorité religieuse du diocèse de Tarbes adoptait pour principe de conduite
l’abstention, la réserve et le silence : elle laissait faire Dieu et
attendait. On sait avec quelle rudesse M. l’abbé Peyramale accueillit l’enfant
ayant mission ‘d’aller dire aux prêtres que je désire avoir ici une chapelle et
je veux qu’on y vienne en procession’. » (DM, 1932)
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