mercredi 20 septembre 2017

Les Roses de Massabielle (8)


Aujourd’hui la tristesse découragée d’un adieu : « Ah ! Si je pouvais demeurer encore et prolonger ma prière ! Ici, dans le désarroi de mon affliction, je sentais ma peine moins lourde et ma confiance prête à fleurir. Mais demain… seul avec le fardeau d’une vie meurtrissante et l’insupportable obsession d’un isolement sans sourire… » (R. Gaëll, 1946).

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire