Aujourd’hui la tristesse découragée d’un
adieu : « Ah ! Si je pouvais demeurer encore et prolonger ma
prière ! Ici, dans le désarroi de mon affliction, je sentais ma peine
moins lourde et ma confiance prête à fleurir. Mais demain… seul avec le fardeau
d’une vie meurtrissante et l’insupportable obsession d’un isolement sans
sourire… » (R. Gaëll, 1946).
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