Ils sont venus, légion immense et chaque jour
accrue, cherchant le soleil, appelant la lumière. Comme les graines éparses qui
voyagent au caprice du vent, ils ont flotté à la dérive jusqu’à l’heure où ils
se sont posés sur cette roche dans le sein de laquelle les germes épuisés
revivent et fleurissent (R. Gaëll, 1946).
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