On a beau s’émerveiller,
disons plus : s’extasier avec une admiration toujours nouvelle devant le
prodige qu’est le « fait de Lourdes », il n’en reste pas moins que la
contemplation habituelle et prolongée du plus étonnant des miracles finit par
amoindrir l’émotion intense qui saisit les âmes au contact du surnaturel (R.
Gaëll, 1946).
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