La première fois que je vis cette marche serrée et
lente, je me dis : « Ça
ne va pas durer… tout à l’heure, il n’y aura plus personne ! » Un
quart d’heure plus tard, il y avait toujours autant de monde. L’après-midi, le
soir, dans les premières heures de la nuit, toujours autant de monde. Et le
silence (1977).
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