À la Noël 1940, dans le climat politique que l’on
sait, un évêque dans son sermon prononça les paroles suivantes :
« Jésus est notre Sauveur, notre seul sauveur ». Le soir même, une
des plus hautes autorités de la cité vint exprimer à l’évêque sa tristesse et
son désaccord. Il acceptait que Jésus fut un sauveur parmi d’autres. Qu’il fut
le seul sauveur, cela il ne l’admettait pas. Or c’est cela qu’il faut professer :
« Il n’y a pas, sous le Ciel, d’autre nom donné aux hommes, par lequel il
nous faille être sauvés » (Ac 4, 12) (Mgr Pierre-Marie Théas,
Pâques 1969).
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