Le chapelet était inséparable de Bernadette. Quand avec ses parents
elle va de moulin en moulin, quand elle est bergère à Bartrès, quand au cachot
elle a faim et froid, quand elle voit le Dame à Massabielle, quand elle est
postulante, novice, professe à Nevers, quand elle est à l’infirmerie pour des
soins à donner ou à recevoir, quand elle est malade et agonisante, Bernadette égrène
inlassablement son chapelet. Elle le dit avec ses lèvres, mais surtout avec sa
foi et tout son amour (Mgr Théas, 1969).
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