À Bernadette, Dieu a toujours accordé une grâce d’anéantissement. À
Saint-Gildard, la Supérieure Générale dira publiquement à l’évêque de Nevers,
en parlant de sœur Marie-Bernard : « Cette enfant n’est capable de
rien. » Bernadette ne s’en offusque pas. Elle consent. Ne dira-t-elle pas
à son évêque : « Je ne suis rien. Je ne suis bonne à rien, pas même à
remplir un emploi » (Mgr Théas, 1969).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire