C’est une plus grande chose
de bien aimer Dieu que de se bien porter et c’est plus navrant une âme
paralytique, qu’un corps paralytique. L’éternel est plus que le temporel. Comme
il faut surtout craindre ceux qui en nous tuent l’âme, il faut plus apprécier
les grâces de sainteté que les grâces de santé. (P. BELLOUARD)
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