À Lourdes, une des merveilles est de voir la patience
que soutiennent les malades, dans l’espoir d’une guérison humainement
impossible. Ceux qui se dressent en joie, tout d’un coup ressuscités, sont
moins admirables que les autres, ceux qui repartent sans changement, avec la
même résignation confiante. Libre aux spectateurs incrédules d’objecter à ces
infirmes : « Puisque vous imitez mieux le Christ en souffrant,
pourquoi demandez-vous votre délivrance ? » (Émile BAUMANN)
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