Le paysage de Lourdes ne saurait laisser indifférents
que les septiques frigides : les coulées de soleil sur le vent des pentes,
les plans d’ombre veloutée enclose d’une sévère douceur et d’une âpreté
luxuriante la fuite oblique du Gave en ce vallon prédestiné. (Émile BAUMANN)
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