Avoir vécu cinq jours à
Lourdes est un inappréciable bienfait et le souvenir d’un tel passage de Dieu
ne peut être évoqué sans qu’à nouveau ne souffle sur l’âme un puissant vent de
grâce. Mais l’effet des seules émotions religieuses même les plus saines
demeurent superficielles. Le pèlerinage doit agir plus profondément dans l’âme
et la vie.
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