Un vieil ouvrier italien tout parcheminé se met à
pleurer, mâchoires tremblantes de nervosité, en reprenant le cri : « O Madona di Lourdes, benedici la nostra
patria ! » Vraiment il n’y a plus ici, selon le mot de saint
Paul, ni races ni classes sociales, mais un seul vivant collectif réalisé en
Jésus Christ, par la Charité. Notre-Dame, oui, votre désir est comblé :
« Je veux qu’il vienne ici beaucoup de monde ! »
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