Et, sans doute, les outrances de style de certains
artistes peuvent équivaloir à un manque de respect. Mais c’est un égal
blasphème lorsque les amateurs d’une religion polie et convenable susurrent
d’un air scandalisé : « C’était le plus beau des enfants des hommes »,
pour défendre les plâtres et les chromos émasculés de Saint-Sulpice.
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