Et les paroles de l’Évangile parlent plus bas encore, et leur rayonnement,
encore plus discret, vient de plus profond encore et pénètre plus
profondément : « Et il leur dit : Mon âme est triste à en mourir.
Demeurez ici et veillez avec moi ». Que voulez-vous ajouter ?
Croyez-vous que l’homme qui souffre a besoin, pour comprendre cela mieux que
vous, de vos coups de poing sur le pupitre ? Que les
« bien-portants », qu’endorment les digestions béates, en aient
besoin, soit !
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