C’est là une curiosité à laquelle Dieu ne répond à peu
près jamais, tout au moins de la manière que nous escomptions. Nous n’avons
pas, comme naguère les Juifs, à mettre, en quelque sorte, Dieu en demeure de
nous donner un signe du ciel, pour croire et adorer. « Heureux, c’est
vrai, disait Jésus aux privilégiés qui assistaient à ses miracles, heureux les
yeux qui voient ce que vous voyez ». (abbé Jean Colson, 1955)
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