Penché à la portière, il regardait ce lourd convoi,
lourd de misère humaine et d’espérance, glisser à travers la Beauce, emportant
si loin de leurs Vosges natales quelques cinq cent pèlerins, valides ou
malades. Et ne sommes-nous pas tous, pauvres pécheurs, des malades ? Un
autre train suivait, à une demi-heure de distance, avec sept cents pèlerins
vosgiens.
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