Les malades ont été ma
préoccupation préférée. Le matin, après la messe, je me postais sur leur
chemin, en face des Piscines et je restais à regarder ce long et douloureux
défilé de toutes les misères humaines. On lisait dans leurs yeux l’espoir et la
résignation, l’ardent désir de la santé enfin reconquise, la volonté plus forte
de se soumettre aux volontés de la Providence. Tous ils murmuraient une prière,
en passant, et leur regard implorait la prière des spectateurs.
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