L’homme, voyant le prêtre
près de lui, se retourne et lui dit avec impatience: « Vous
encore ? » « Oui, encore moi », lui répond Jules avec une
grande affabilité. « Comment êtes-vous aujourd’hui ? »
« Pas mieux et sans espoir de guérison, vous le savez bien. Ne pouvez-vous
pas me laisser mourir en paix, sans toutes vos prières et vos
sermons ? » « Surement, mes prières ne peuvent vous
nuire », répond le prêtre. « Vous m’entendez pas les dire. Quant aux
sermons, vous ne me donnez pas la chance d’en faire un, même si je le
désirais ! » (G. du Bouyssou, 1910)
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