Puis, plaçant le chapelet
entre les mains du malade, Jules ajouta en souriant : « Vous savez
que la restitution est pour tout homme un devoir sacré. Je vous rends donc
votre bien, et il ne vous sera plus permis de dire que les anneaux du chapelet
ont formé une chaîne qui vous a entraîné dans toutes sortes de malheurs sur
cette terre et à la perdition éternelle. Non, non, cher ami, car c’est la
Sainte Vierge qui vous tend la main pour vous élever vers le ciel ! »
Le prêtre se tut quelques minutes devant la trop forte émotion du malade. (G.
du Bouyssou, 1910)
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