Dans le premier cas, les moindres gestes ont une
valeur purement divine, dans le second cas, les actes les plus éclatants sont
d’ordre purement naturel. Parce qu’elle était convaincue de cette vérité,
Jeanne d’Arc voulait des soldats en état de grâce et elle a sauvé la France
avec une milice de communiants. Dieu veuille que les chrétiens engagés dans
l’action économique, dans l’action sociale ou dans l’action politique
travaillent en état de grâce et sous la motion de l’Esprit du Christ. (Les
trois regards du pèlerin au départ de Lourdes, Allocution de Mgr Pierre-Marie
Théas, évêque de Tarbes et lourdes, donnée lors de la clôture du 77° Pèlerinage
National, le mardi 22 août 1950)
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