lundi 7 septembre 2015

Au départ de Lourdes (11)


Dans le premier cas, les moindres gestes ont une valeur purement divine, dans le second cas, les actes les plus éclatants sont d’ordre purement naturel. Parce qu’elle était convaincue de cette vérité, Jeanne d’Arc voulait des soldats en état de grâce et elle a sauvé la France avec une milice de communiants. Dieu veuille que les chrétiens engagés dans l’action économique, dans l’action sociale ou dans l’action politique travaillent en état de grâce et sous la motion de l’Esprit du Christ. (Les trois regards du pèlerin au départ de Lourdes, Allocution de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et lourdes, donnée lors de la clôture du 77° Pèlerinage National, le mardi 22 août 1950)

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