« Je vous donne l’emploi
de prier », avait dit Monseigneur Forcade à Sœur Marie-Bernard, au soir de
sa profession. Cet emploi fut magnifiquement rempli. « Je ne sais rien
faire que prier et souffrir », avoue humblement la sainte. Hors des
exercices de piété, elle est sans cesse unie à Dieu : « Elle était
presque continuellement en oraison », notre un témoin. Ne vivant que de
Dieu, Bernadette consume sa courte vie pour la gloire de Dieu. Le cierge
qu’elle tenait à chacune des apparitions et auquel elle tenait tant, c’est
elle. Elle brûle pour Dieu, humblement, ardemment, jusqu’à la fin : la
dernière heure est la plus belle. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de
l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et
Lourdes, 18 février 1954)
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