samedi 6 juin 2015

Le chef d’œuvre de l’Immaculée (67)


« Je vous donne l’emploi de prier », avait dit Monseigneur Forcade à Sœur Marie-Bernard, au soir de sa profession. Cet emploi fut magnifiquement rempli. « Je ne sais rien faire que prier et souffrir », avoue humblement la sainte. Hors des exercices de piété, elle est sans cesse unie à Dieu : « Elle était presque continuellement en oraison », notre un témoin. Ne vivant que de Dieu, Bernadette consume sa courte vie pour la gloire de Dieu. Le cierge qu’elle tenait à chacune des apparitions et auquel elle tenait tant, c’est elle. Elle brûle pour Dieu, humblement, ardemment, jusqu’à la fin : la dernière heure est la plus belle. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)

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