Dans une lettre du 4 juillet
1876, Sœur Marie-Bernard montre qu’elle a retenu la leçon de la sixième
apparition : « Le péché, écrit-elle, c’est le plus grand malheur.
C’est lui qui nous attire tous les châtiments. » Parce que l’argent est la
source habituelle de nos fautes, elle confie à un prêtre, pèlerin de Lourdes,
son souci concernant ses frères, sa sœur, son beau-frère : « Pourvu
qu’ils ne s’enrichissent pas… Dîtes-leur de ne pas s’enrichir. » (Sainte
Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie
Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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