lundi 25 mai 2015

Le chef d’œuvre de l’Immaculée (56)


Le démon vient tourmenter la mourante, qui résiste : « Va-t-en, Satan ! va-t-en, Satan ! » Elle exhale vers le Crucifix son amour douloureux : « Je vous conjure, ô mon Dieu, par vos délaissements de ne point m’abandonner dans l’affliction… Mon Jésus, je souffre et je vous aime. » En ces heures d’angoisses telles qu’ont connu tous les saints, elle cherche refuge dans le cœur de Marie. « Je suis l’enfant de vos douleurs, l’enfant du Calvaire… Voici votre enfant qui n’en peut plus : ayez pitié de moi. » (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire