Le démon vient tourmenter
la mourante, qui résiste : « Va-t-en, Satan ! va-t-en,
Satan ! » Elle exhale vers le Crucifix son amour douloureux :
« Je vous conjure, ô mon Dieu, par vos délaissements de ne point
m’abandonner dans l’affliction… Mon Jésus, je souffre et je vous aime. »
En ces heures d’angoisses telles qu’ont connu tous les saints, elle cherche
refuge dans le cœur de Marie. « Je suis l’enfant de vos douleurs, l’enfant
du Calvaire… Voici votre enfant qui n’en peut plus : ayez pitié de
moi. » (Sainte Bernadette, le
chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque
de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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