Sur terre, elle possède
l’Immaculée dans son cœur, dans un cœur meurtri et blessé par certaines
paroles. « Par amour pour Jésus, je porterai la croix cachée dans mon
cœur. » Elle renonce à l’espoir d’un pèlerinage à Lourdes : « Je
verrai la Sainte Vierge au Ciel, ce sera plus beau. » C’est le
dépouillement absolu. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée,
Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18
février 1954)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire