Désireuse d’être
consacrée à Dieu, elle se récuse cependant en invoquant sa pauvreté, son
incapacité surtout : « Je ne sais rien et je ne suis bonne à
rien ! » « Bonne à rien », c’est ainsi que trois ans plus
tard Bernadette sera présentée à Monseigneur Fourcade par la Supérieure
Générale, au cours de la cérémonie des obédiences. Et la jeune professe dira
simplement à son évêque : « Mais Monseigneur, je vous l’avais bien
dit, à Lourdes, que je ne suis bonne à rien ! (Sainte Bernadette, le chef
d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de
Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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