mardi 12 mai 2015

Le chef d’œuvre de l’Immaculée (45)


Désireuse d’être consacrée à Dieu, elle se récuse cependant en invoquant sa pauvreté, son incapacité surtout : « Je ne sais rien et je ne suis bonne à rien ! » « Bonne à rien », c’est ainsi que trois ans plus tard Bernadette sera présentée à Monseigneur Fourcade par la Supérieure Générale, au cours de la cérémonie des obédiences. Et la jeune professe dira simplement à son évêque : « Mais Monseigneur, je vous l’avais bien dit, à Lourdes, que je ne suis bonne à rien ! (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)

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