Le trésor de Bernadette,
c’est la Vision, et il lui suffit. Les pièces d’or ou d’argent qu’on lui offre,
elle les refuse. S’il lui arrivait de les accepter, pourrait-elle dire avec la
même sincérité : « Mon Dieu et mon tout » ? Car la
Dame ; en se montrant à l’humble enfant, lui apprend que Dieu est tout et
qu’il doit être aimé d’un amour souverain. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre
de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et
Lourdes, 18 février 1954)
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