vendredi 10 avril 2015

Le chef d’œuvre de l’Immaculée (19)


Déjà, à Lourdes et à Bartrès, elle est le « diamant sans tache » que louera Mgr Lelong devant son cercueil. Sous son capulet d’enfant, comme sous son voile de Nevers, elle est pure comme un lis et claire comme une source. « Je n’ai jamais menti, déclare-t-elle pour s’excuser de n’avoir pas compris une plaisanterie de son père. N’exprime-t-elle pas ainsi son horreur  du moindre péché ? (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)

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