Déjà, à Lourdes et à
Bartrès, elle est le « diamant sans tache » que louera Mgr Lelong
devant son cercueil. Sous son capulet d’enfant, comme sous son voile de Nevers,
elle est pure comme un lis et claire comme une source. « Je n’ai jamais
menti, déclare-t-elle pour s’excuser de n’avoir pas compris une plaisanterie de
son père. N’exprime-t-elle pas ainsi son horreur du moindre péché ? (Sainte Bernadette,
le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas,
évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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