Le 8 juillet 1908, le P. Louis Copéré, postulateur
de la cause de béatification et de canonisation de Bernadette, écrit :
« Nommée seconde infirmière du Couvent Saint-Gildard après sa profession
religieuse, Bernadette montrait de l’empressement dans les services les plus
humbles et minutieux. Cet empressement généreux ne venait point uniquement de
sa vivacité naturelle, mais principalement de l’esprit de foi qui l’animait en
tout et partout » (n° 32).
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