samedi 26 novembre 2011

Paradoxe

Marie a dit à Bernadette : « Je ne vous promets pas le bonheur de ce monde, mais de l’autre ». De fait, non seulement Bernadette a beaucoup souffert, mais encore très longtemps. Cependant, « dans ses souffrances, elle ne témoignait jamais le désir de moins souffrir. Elle les acceptait avec résignation et même gaité. C’est seulement lorsqu’elle allait mieux que, sa nature active désirant agir, elle montrait parfois un peu de mauvaise humeur ». Ainsi, « saisie par la maladie, elle devenait plus gaie. Les boutades d’humeur disparaissaient ».

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