Vouloir rendre à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu, oblige à se demander d’abord ce qui ne revient qu’à Dieu seul. Vu de Lourdes, il est facile de répondre : le culte qui se déploie dans la liturgie de l’Eglise. Dès lors si nous vouons un culte à un être humain pour lui-même, ou à un objet, nous ne rendons plus à Dieu ce qui ne revient qu’à Dieu et nous sommes idolâtres.
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