Aux premiers jours de leur conversion, d’une foi encore faible, saisis d’une sorte de frayeur, les nouveaux chrétiens n’oseront eux-mêmes briser ces autels et demanderont ordinairement au missionnaire de les détruire : « Laissez-moi aller, disait Phong (c’est le nom de notre néophyte), moi je m’en charge. (Pierre Compagnon, MEP, 1908)
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