Et l’humble Bernadette répond du haut du ciel : Marie m’a montré des trésors incomparables, qu’elle m’a promis de me donner au Paradis. Je vous rends grâce, ô Marie Immaculée, Mère de Dieu, parce que, par moi, votre servante, vous avez apporté à votre peuple les paroles de salut et les arrhes de la paix. Ô Marie, splendeur de la lumière éternelle et miroir sans tâche, vous m’avez montré votre visage, votre voix a raisonné à mes oreilles. (D.-M., 1933)
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