N’est-ce donc pas pour Bernadette que l’Évangile de Lourdes existe d’abord ? Sur elle d’abord qu’il doit exercer sa vertu, sa puissance surnaturelle ? N’est-ce pas par elle qu’il veut arriver à son peuple ? Est-ce que si Bernadette se fut dérobée à ces courants divers qui portent l’âme jusqu’aux plus hauts sommets de la sainteté, les desseins de Dieu pour le bonheur des hommes ne fussent pas tombés à terre, frustrés ou incompris par une chétive adolescente ? (D.-M., 1933)
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