Il y eut réellement un moment d’embarras. Les rares hôtels, auxquels forcément durent s’adresser les nouveaux venus, furent bientôt encombrés ; pour donner satisfaction à leurs trop nombreux clients, ils furent obligés de solliciter de quelques maisons recommandables le service de recevoir les pèlerins qu’ils pourraient héberger et auxquels avec peine ils pourraient assurer le service des repas. (DM, 1932)
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