Faisant hommage de son
mandement en janvier 1862 au ministre des Cultes, il écrit à son
Excellence : « Vu les instances qui m’étaient faites de toutes parts,
je n’ai pu, comme évêque, garder plus longtemps le silence. » Sa lettre du
17 juin 1882 au ministre accentue cette vérité manifeste : « Le
concours s’est formé spontanément et malgré les mesures qu’on avait cru devoir
prendre pendant quelque temps pour l’empêcher. » (DM, 1932)
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